LIBERASKAN
Ô Sénégal ! Est-ce donc vrai que tous et toutes nous t’avons en commun ? Alors, pourquoi tant de crimes et d’indifférences sur le dos de l’intérêt supérieur ?
Des crimes de divers ordres commis par des individus ayant mis leur seul égo par-dessus la chose commune.
Des indifférences coupables de certains n’ayant rien à cirer du carnage de nos maigres ressources. Et des tortures à l’encontre des libertés et de la gouvernance.
Des silences de certaines voix autorisées, anormalement lourds de laisser faire et de complaisance, pesant sur le pays au point de faire vaciller la quiétude de l’inégalable Mame Dabakh.
SUNUGAAL notre pirogue est entrain de tanguer, entre les mots faibles de l’impuissance du grand nombre et les maux fortement déstabilisateurs d’une minorité de gens tirant les ficelles d’un système dévastateur entretenu à dessein.
Aucun mot n’est assez fort pour qualifier et mettre à nu, comme sous un soleil ardent, l’état de mon peuple criblé d’atrocités de tout genre, envahi de craintes et d’inquiétudes sur le chemin rocailleux et incertain de l’avenir.
Qui donc pour sauver le Sénégal de ce gouffre jamais aussi proche, qui tend les bras et affiche le sourire la grimace au coin de l’œil, vers la destination de son propre basculement, de sa dommageable perte !
Trêve de « Pacoo » alors, « Pencoo waay » !
Heureusement, Allah veille sur le Sénégal. L’ère Diomaye a sonné. Que l’espoir ne soit pas déçu !
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